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Je suis dans une maison. C’est celle

Je suis dans une maison. C’est celle de Marie-Pierre mais dans mon rêve, c’est la maison nous nous habitons avec maman et les autres. Nous sommes assis par terre devant le canapé avec Alois, peut être aussi Oriane qui n’est pas loin. Parc contre c’est le salon de Teverga. Je crois que nous ne sommes pas d’accord sur le film que nous désirons voir toute les deux avec Alois. Oriane ne prend pas partie il me semble (si elle est là) elle fait autre chose . Sensation d’énervement, de fatigue, de lourdeur lié à la paresse d’être resté longtemps à ne rien faire il me semble. Ce que reproche Pascal qui arrive, il est énervé, il faut mettre la table, faire à manger.. Je me lève, je ne suis pas fière de notre état de léthargie, je m’aperçois qu’il n’y a presque aucun meuble, le salon est grand, blanc, il me semble qu’il y a des bâches en plastiques transparent tendues sur le mur du fond, derrière le canapé de Teverga, (sur lequel je suis endormie dans la réalité) ce lieu me fais penser a chez tatie Mylene, un grand espace blanc peu meublé et pas décoré. Je me dirige dans la cuisine pour aider, faire quelque chose, en tournant dans un couloir (vide encore) d’un vert étrange, un peu écaillé, unvert Smaragdin,qui est lié à la maison de Marie-Pierre, en fait je pense que le vert de mon rêve est une version plus claire de la moquette en plastique qui recouvre le sol du salon de cette maison, et qui d’ailleur a été en parti abîmé par le feu d’une cheminé. (dans mon rêve, le revêtement du mur était aussi endommagé). J’arrive à la cuisine, (c’est la cuisine de Marie-Pierre) il me semble qu’il y a moins de meubles à mesure que j’avance dans mon rêve- dans la cuisine Pascal est énervé, je m’empresse de mettre la table, avec un sourire affable mais faible,(ici, je ressens un sentiment de honte vague quant à mon comportement, le même que je ressens quand Sylvie me reproche une chose et qu’elle a raison) je vais chercher les couverts (fourchette et couteau) au fond d’une armoire de basse qualité, avec des portes en verres, en fait qui est celle du salon de Teverga où l’on range les verres mais en plus vétuste. Dès que j’ai la tête dans l’armoire je sens une grimace me tordre le visage, je veux pleurer mais aucune larme ne vient. Première pensé : « tu ne vas pas pleurer, tu t’étais dit que tu ne pleurerait plus maintenant »